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Les éditions Rafael de Surtis |
Catégorie : poésie Dernières mises à jour : 1 mai 2024 |
Nouveauté
Des nouvelles de Léda ?, de Catherine AndrieuUne belle Anthologie poétique contenant aussi des entretiens, et des inédits, dont un recueil autour de l'oeuvre du peintre Anora Borra.
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Nouveauté
Ensauvagement, de Vincent CalvetUne exploration d'un nouvel univers, dans l'hommage à Apollinaire, et ses successeurs surréalistes.
Avec une préface de Grégory Rateau
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Nouveauté
Penser l'infini, d'Eric Chassefière12 x 19 cm, 100 pages, broché, EAN : ISBN 9782846725859 Prix public: 19 euros hors frais de port Ajouter au panier : |
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Toujours disponible
49 Marches, de Paul Sanda.« Les 49 marches sont les 49 mots qui composent le Pater que l’on récite sur le chemin de Saint-Jacques
dans le village de Cordes. Il s’agit de monter jusqu’au père au sexe mixte. Il s’agit uniquement d’inventer
un ventre, une tripe anagrammatique de l’esprit, le secret d’un nom qu’on accuse dans ses lettres, ou dans
un souffle. / Comment rendre public le Nom est le sens de ce chant. Un rituel de passage. / Dans les mots
de Paul Sanda règne le poème d’une théologie de la chair. / Toute mort réveillée est une incarnation et le
poème crache des voyelles sur les consonnes qui jouent dans le silence. / C’est le sens de la pierre que
l’on trouve poussée devant l’entrée du tombeau, comme le bouchon d’une oreille. » (Serge Pey, extrait de
la Préface).
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L'An Mil Saisons d'Orages, d'Arnaud MarquetChants et chansons profondes ; poésie libre d'Arnaud Marquet publiée en trois langues : le Français, l'Anglais et le Flamand occidental
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Les îles du Silence, de Bruno Geneste et Paul SandaBeau livre augmenté de photographies en couleur. Séjour poétique des auteurs dans les îles merveilleuses...
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Auberge de la Tête Noire, de Paul SandaUne autobiographie poétique d'enfance...
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Il est temps, de Talal Haidar12 x 19 cm, 88 pages, broché, EAN : 9782846725033 Prix public : 15 euros hors frais de port Ajouter au panier : |
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L'enfant des brumes, de Louis Bertholom12 x 19 cm, 40 pages, broché, EAN : 9782846724654
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La Clarté du Silence, de Claude Faber12 x 19 cm, 36 pages, broché Ajouter au panier : |
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Beauté du Funambule, de Patrick Lepetit12 x 19 cm, 46 pages, broché, EAN : 9782846724760
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Foutu poète improductif, de Florent Toniello12 x 19 cm, 44 pages, broché, EAN : 9782846724661
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NILI FOSSAE, de Laurence Bourgeois12 x 19 cm, 48 pages, broché, EAN : 9782846724531
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SEUL SE MEURT, de François Reibel12 x 19 cm, 48 pages, broché, EAN : 9782846724517
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CES LONGUES MUES de Lembe Lokk
"Tout un pays couvert de mémoires
qui me minent et m'enchantent...
Se prendre dans ses bras, se blottir contre la porte,
et puis se dire l'orage, le bois et la fourrure."
A la lecture de ces quelques mots,
me revient en mémoire une chanson de Bob Dylan :
"Si tu vas là-bas, vers le Nord,
Si tu croises les troupeaux de rennes,
N'oublie pas de donner le bonjour
A la fille qui fut mon amour."
L'amour éternel,
cette autre gloire ancienne.
Paul Villain
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L'ETREINTE DU VIDE, suivi de JE SUIS LA NUIT de Patricia Suescum12 x 19 cm, 64 pages, broché, EAN : 9782846724234
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FALAISES DU CORPS, de Laurence Bourgeois UTÉRIN STELLAIRE
Son ADN c'est le vertige. A la recherche du k. o. du sens. Le poème chute du haut de cette falaise. À l'aplomb nu.
En son ventre vrille une soif inextinguible d'abrupt, de salive de méduse.
L'utérin signe du fond infini d'une galaxie. Face à la paroi une déesse invisible sidère le scintillement du sens.
A revers sa face dessille le visage d'une hélice nuptiale.
La lettre amoureuse enfante la constellation d'un corps.
L'air chuinte, sa chair bande mot à mot l'infini.
Son ADN c'est la chute du corps moebien dans l'infini vivant du Désir.
Alors tombons dans l'oeil vide de la Beauté.
JEAN-MARIE DE CROZALS
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PSORIASIS DE L'ETERNITE. EVACUATION, de Michel Cand12 x 19 cm, 104 pages, broché, EAN : 9782846722490
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LE PEU QUI RESTE ICI, d'Eric Chassefière12 x 19 cm, 84 pages, broché, EAN : ISBN 9782846723589 Prix public: 15 euros hors frais de port Ajouter au panier : |
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BALTIQUE. OISEAU DE FROID, de Bruno Geneste12 x 19 cm, 52 pages, broché, EAN : 9782846723671
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DEPUIS, de Pierre Grouix14 x 21 cm, 104 pages, broché, EAN : 9782846723596
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ANTHOLOGIE DE POETES BULGARES, vol. I, de Lubomir GuentchevCe choix de poésies traduites du bulgare en français tente de montrer comment les auteurs qui ont contribué à introduire le sonnet dans la littérature, en Bulgarie, au XIXe et au XXe siècles, ont voulu exprimer en cette forme alors nouvelle mais difficile, "brève, exquise et soignée", une émotion originale, lyrique chez Ivan Vazov et Dimitar Polianov, pathétique chez Dimtcho Débélianov, inquiète chez Stoïan Michaïlovski, enthousiaste chez Kyril Christo, patriotique chez Constantin Vélitchkov.
C'est peut-être dans les Sonnets de Constantinople, dont le titre primitif était Tristesses et joies et qui ont été composés entre 1887 et 1894 par Constantin Vélitchkov, que cet effort se traduit le mieux dans la littérature bulgare de l'époque. Ces sonnets, encore appelés "constantinopolitains", se présentent en effet dans ce recueil comme de brèves effusions, de rapides confessions ou de courtes méditations dominées pour la plupart par l'attachement à son pays natal, la Bulgarie.
Ces sonnets ont été choisis et traduits, plus exactement transposés et recréés en français, en Bulgarie, dès 1972, par un traducteur, Lubomir
Guentchev, qui était né en 1907 à Pazardjik et qui est décédé en 1981 à Plovdiv dans l'obscurité la plus totale, après avoir été persécuté, sa vie durant, pour avoir enseigné de 1933 à 1948 la langue française au collège Saint-Augustin des frères de l'Ordre des Assomptionnistes à Plovdiv.
Ce premier volume de ses Écrits inédits lui rend hommage.
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ANTHOLOGIE DE POETES BULGARES, vol. II, de Lubomir GuentchevLe symbolisme a pénétré en Bulgarie au début du XXe siècle. Il s'y est affirmé entre les deux guerres comme une doctrine littéraire nouvelle, moderne, fortement marquée par une double influence occidentale et slave : française, belge et allemande d'une part, et russe d'autre part.
Péïo Kratcholov (1878-1914), dit Péïo Kr. Yavorov (ou Javorov), est le poète qui a introduit le symbolisme dans la littérature bulgare.
Sa poésie est très tourmentée. Il s'est attaché à la perfection de la forme, à la pureté de la langue et à la musicalité de l'expression.
Nicolaï Mihaïlov Popivanov (1885-1960), dit Nicolaï Liliev, a été de l'un de ces poètes qui ont créé et illustré le mouvement symboliste en Bulgarie.
Son inspiration est souvent très mélancolique. Sa poésie exprime une nostalgie irrémédiable de l'absolu.
En Bulgarie, l'influence des auteurs russes a été importante. L'ajout de pièces traduites en français à partir de versions bulgares antérieures tente de le montrer à partir d'extraits tirés de Mihaï Lermontov (1814-1841), de Fédor Tiouttchev (1803-1873), de Sémion Nadson (1862-1887) et de Valériï Brioussov (1873-1924).
Ces sonnets ont été choisis et traduits, plus exactement transposés et recréés en français, en Bulgarie, dès 1972, par un traducteur, Lubomir Guentchev, qui était né en 1907 à Pazardjik et qui est décédé en 1981 à Plovdiv dans l'obscurité la plus totale, après avoir été persécuté, sa vie durant, pour avoir enseigné de 1933 à 1948 la langue française au collège Saint-Augustin des frères de l'Ordre des Assomptionnistes à Plovdiv.
Ce deuxième volume de ses Écrits inédits lui rend hommage.
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ANTHOLOGIE DE POETES BULGARES, vol. III, de Lubomir GuentchevThéodor Traïanov (1882-1945) est un auteur qui est regardé comme l'un des principaux introducteurs du symbolisme dans la littérature bulgare à la fin du XIXe et au début du XXe siècles. Diplomate, poète, traducteur, puis journaliste, essayiste et dramaturge, il se situe toutefois à part, en dehors des courants, des modes et des tendances qui prévalaient à cette époque en Bulgarie. Une génération le sépare de son traducteur, Lubomir Guentchev (1907-1981), un autre poète qui s'est consacré à le traduire ou, plus exactement, à le transposer en des "versions françaises".
Le choix des poèmes que Lubomir Guentchev a voulu traduire a obéi à plusieurs intentions. Le traducteur a voulu d'abord témoigner de son admiration pour un écrivain en qui il aurait senti, d'emblée, "l'irrésistible empreinte du génie". Il a voulu aussi faire connaître la "richesse d'idées et d'émotions, l'abondance et l'ampleur des images, la puissance de l'expression", alliées chez Théodor Traïanov à une pensée poétique dense, musicale, "fortement synthétique". C'est cette poésie, cette "synthèse", cette densité qu'il a tenté de restituer. Ce n'est probablement pas le moindre mérite de ce travail de traducteur mené de 1969 à 1973, par Lubomir Guentchev, dans l'obscurité la plus totale.
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SONNETS INTERDITS, écrits interdits tome IV, de Lubomir GuentchevCes Sonnets Interditsde Lubomir Guentchev n'auraient jamais dû resurgir du silence et l'oubli auxquels ils avaient été condamnés. Ils ont une histoire. Un premier recueil de ces sonnets dissidents, "satiriques", composés dans le secret, en français, en Bulgarie, à Plovdiv, a été confisqué par la police politique bulgare, le 18 octobre 1973, lors d'une perquisition effectuée au domicile du poète à la suite d'une dénonciation.
Ces sonnets "confisqués" ne lui furent jamais restitués.
En ces sonnets "confisqués" et "retrouvés", c'est une parole vivante, dissidente, oubliée et interdite, qui surgit du silence
des dictatures et qui accomplit ce qui aurait été, sa vie durant, le "voeu secret" de ce poète d'expression française : dénoncer ce mal contemporain, les "tyrans" et les "tyrannies" modernes.
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LE CHOEUR SAUVAGE. VILDT KOR, de Knut HamsunJe n'ai cessé d'écrire que pour taire la vie.
Knut Hamsun (1859-1952) est le plus grand écrivain scandinave du xxe siècle. Prix Nobel de littérature en 1920 pour son roman Les Fruits de la
terre, il a écrit de nombreux romans (Faim, Mystères), des nouvelles, des récits de voyages et des pièces de théâtre. Édité à l'occasion du cent cinquantenaire de la naissance de l'auteur, Le Choeur sauvage, traduit ici d'après l'édition de 1927, est son unique recueil de poèmes.
Édition bilingue. Préface de Régis Boyer
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ELLE, ETRANGERE, de Michel LacJe n'ai cessé d'écrire que pour taire la vie.
Là où les mots s'effondrent et laissent les cendres de la mémoire recouvrir les plaies ouvertes du quotidien.
Au plus loin de mes souvenirs le féminin hante ma vie.
Elle, n'est pas un corps ni une voix, mais un genre affirmé obsédant quoique heureux.
Étrangère comme la chose inconnue. Qui est-elle ?
La soif de savoir. Ne pas travestir la vérité, s'accommoder de ses formes.
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JE M'EN IRAI BIENTOT, de Dominique Massaut12 x 19 cm, 64 pages, broché, EAN : 9782846723350
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UNE POMME D'OMBRE, de Paul Mathieu12 x 18 cm, 32 pages, broché, EAN : 9782846723930
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JOURNAL DE TRAVERSE, de Michel PasselergueIl faut me rendre à l'évidence : ce journal doit une bonne part de ses pages à mes périodes de "panne". Le reprendre est une activité compensatoire, les jours où la poésie refuse de se laisser saisir. Ce jeu dialectique entre deux écritures pourrait bien être la condition même de leur efficience. Baudelaire, Mallarmé, Valéry, Claudel, Rilke, Reverdy, Breton, Char, Ponge... La liste est longue des poètes qui, en marge de leur oeuvre proprement poétique, ont accordé une place de choix aux notes, essais, aphorismes ou pages de journal pour affiner leur approche de "cette émotion appelée poésie". Pas sûr cependant que l'accumulation de notes, de réflexions ait été, pour ces poètes, liée à quelque phase de découragement... Et pas davantage pour ceux de mes contemporains qui, sans aller jusqu'à formuler un "art poétique", nous ont confié leurs doutes, leurs convictions d'artisans du poème.
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ALICE AUX MILLE BRAS, de Mateja Bizjak PetitMateja Bizjak est née à Ljubljana, en Slovénie, en 1969. Elle suit des études de dramaturgie à l'université de Ljubljana. Elle s'est
spécialisée au Théâtre des mains nues chez Alain Recoing à Paris et aux Etats-Unis en tant que metteur en scène au Centre des
marionnettes d'Atlanta. Elle écrit des poèmes en slovène et en français et a publié trois recueils de poésie. Elle vit en France depuis
1992 où elle dirige le Centre de Créations pour l'enfance - Maison de la poésie de Tinqueux. Dans une main : la poésie,
les marionnettes, le théâtre, l'homme, la pensée, le verbe. Dans les neuf cent quatre-vingt-dix-neuf autres : le futur.
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L'INSURRECTION DE L'ORDINAIRE, de Jean-Marc ProustL'INSURRECTION DE L'ORDINAIRE, de Jean-Marc Proust
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MAGMA, d'Alain Raguetplonger, plonger au plus profond de la matière fondamentale
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DIX-SEPT PSAUMES DE PROUE DE JOUES ET DE BEAUTE, de Paul Sanda12 x 19 cm, 56 pages, broché, EAN : 9782846723442
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LETTRE DE SINTRA, de Paul Sanda12 x 18 cm, 102 pages, broché, EAN : 9782846723732
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Poèmes, d'Edith SödergranÉvénement de la poésie mondiale, la poétesse finlandaise d'expression suédoise Edith Södergran (1892-1923) est à la racine de la modernité scandinave.
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LE BRUISSEMENT DU SEL, de Serge TorriLa Pierre du Seuil poursuivait la quête ascétique, aventure commune aux artistes du feu, de ce que Serge Torri appelle une Terre Adamique, lieu
de "deuxième innocence", Le Bruissement du Sel sait qu'"écrire exige, avant tout, une grande acuité d'ouïe" : la mer y susurre et salive sa vague
génitale, dédie son goût ; Aphrodite se lève, accouchée de l'écume. L'amour et la mer échangent leurs noms, c'est ainsi que la poésie s'aurore. Corps
et âme, le vers (ou la phrase) de Serge Torri met en rythme, souffle et chant dans sa vibration, sa "scansion du silence entre les mots", une force de
propulsion, un élan du désir. Et, chez lui, le coeur du poème, coeur du coeur, coeur de feu liquide, protège encore le rouge-gorge
"juste est son battement" "érige un plus splendide amour". "Désir de cette source / source de ce désir" ; source qui nous touche : nous aborde et
nous remue, nous met en mouvement, proprement nous émeut. L'eau à la bouche, avec sa soif obéissant à l'appel de la source, soif dans l'ordre et le
chaos où s'enfante une étoile qui danse. Enté d'azur, Le Bruissement du Sel a le pouvoir de vivre et de voler jusqu'à la Grande Ourse dans l'éclat
d'un brin d'herbe. René Depestre aurait-il lu l'athanor de Serge Torri ?
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ABRIBUS, de Pierre Soletti Ajouter au panier : |
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ETRE DANS CE QUI S'EN VA, de Tarjei VesaasTarjei Vesaas, mort en 1970 est avec Knut Hamsun le plus grand auteur norvégien du XXe siècle. Il écrit en norvégien dialectal et figura trois ans
sur la short list du Nobel. Ses romans les plus connus, adaptés au théâtre, sont Les Oiseaux et Le Château de glace. De nombreux romans et nouvelles ont
été publiés aux éditions Actes Sud. À part des poèmes traduits par Régis Boyer dans la revue Plein-Chant n° 25-26 de 1985, son oeuvre poétique est
inédite en français.
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DEFAITE DE LA POESIE, de Jehan van LanghenhovenPrenez le temps poétique
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La petite épée de Tolède, Martine Saurel, Bruno Geneste et Paul SandaTrès beau recueil poétique, dans un rapport simple et immédiat avec la magie... Avec les très étranges dessins de Martin Saurel, et la Préface de Patrick Lepetit
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Martyre des Rêveries, de Paloma KunsPoème intense, autour de la force subtile de la femme... Préface Michel Cand. Ajouter au panier : |
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La Précession des Sphères, de Paul Sanda"La Précession des Sphères" est un recueil de poésie consacré à la musique ancienne. Il est précédé d'un long poème intitulé "Tribute to Patricia Barber", qui est une réédition d'un petit livre qui rend hommage au jazz. Ajouter au panier : |
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Le Pont suspendu, de Marie-Françoise Ghesquier« Attractrice et agrandisseuse de structures Marie-Françoise Ghesquier prouve qu'en lui-même le paysage
n'existe pas. Et chaque regard ne suffit pas à l'inventer. Son aspect extérieur est donc le fruit d'une
intériorité qu'instille le pouvoir de la poésie en tant qu'ouvroir de potentialités matérielles plus
qu'abstractrices. [...] De la terre au cosmos, de celle là à la mer, le paysage, les choses et même les êtres
deviennent funambule et bien loin de ce qu'ils restent. Sans doute parvient-on enfin de l'autre côté des
rêves les plus fous sur ce Pont au dessus du vide. » (Jean-Paul Gavard-Perret).
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Les Messagères Coperniciennes, Paul SandaEcoutons sur ce point Paul Sanda : Ah c'est la roche qui tout à coup prophétise (...) Je pose mon œil à l'infini. Le ciel est tant logique comme la trajectoire du carreau. / Une rose une seule rose étoilée / (et) les morts qui vont vite.
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